Valérie Gagné, directrice du Gibraltar, vue par les résidents
|Québec
Les résidents de la résidence Le Gibraltar, à Québec, dressent un émouvant portrait de leur directrice générale, Valérie Gagné, en connaissance de cause. Après tout, ce sont eux qui la côtoient quotidiennement et qui ont appris à la connaître à la perfection.
Qu’est-ce que vous aimez le plus de Valérie ?
« Valérie, c’est une femme de communication, de cohérence et de transparence. C’est une femme de « juste milieu ». Elle est empathique, mais pas surprotectrice. Elle est présente, mais pas envahissante. Valérie tient compte de notre opinion et elle ne se sent jamais menacée par la critique. Elle y voit une occasion de s’améliorer. Avec elle, il n’y a pas de non-dit. J’ai la certitude que le bonheur et le bien-être des résidents sont importants à ses yeux. J’apprécie l’humanité de Valérie. »
— Oscar Hamel, résident du Gibraltar
Quelle est sa relation avec les employés ?
« Valérie entretient des relations harmonieuses avec les employés. Ce sont des choses qui se sentent, ça. C’est honnête. C’est franc. Ici, l’esprit d’équipe est assez intense, et Valérie ne fait pas bande à part. Elle est parfaite à mon sens. Elle possède les qualités du cœur nécessaires pour occuper son poste. Elle sait faire preuve d’équité et de sensibilité. Elle est à l’écoute. Il faut dire que si elle était rigide et froide comme un robot, ça ne marcherait pas ! J’aime son rire communicatif et son approche bienveillante. »
— Marie-Claude Laprise, résidente du Gibraltar
Selon vous, pourquoi un futur retraité devrait-il choisir Le Gibraltar ?
« Ici, il y a une atmosphère que l’on ne retrouve pas ailleurs. On y sent la chaleur humaine. On est entouré de gens respectueux et aimables. Je me suis fait des amis au Gibraltar ! C’est le fun ! En plus, on est dans un quartier qui a de la vie. Par exemple, on voit les enfants revenir de l’école à la fin de l’après-midi. Je dois dire que la situation géographique du Gibraltar est extraordinaire. Tout se trouve à quelques pas : l’épicerie, la pharmacie, la coiffeuse, le dépanneur… Et les appartements sont beaux ! »
— Lise Durand, résidente du Gibraltar
Avez-vous une anecdote à nous raconter avec Valérie ?
« Il y a deux ans, Valérie est venue cogner à ma porte pour m’offrir une carte sur laquelle elle avait écrit quelques mots de sympathie. La veille, je lui avais dit, à la bibliothèque, que je me sentais triste parce que c’était l’anniversaire du décès de mon mari. Valérie avait pris le temps de jaser avec moi en voyant ma peine. Jamais je n’oublierai le moment où elle est passée à mon appartement. Son message m’a fait tant de bien ! Lorsque j’y pense, je suis encore émue. Jamais je n’avais reçu un tel geste de délicatesse. Mais c’est ça, Valérie et Le Gibraltar ! »
— Fernande Gamache, résidente du Gibraltar
Au Gibraltar, les humains sont humains !